Un clip sur la prévention du harcèlement poétique et puissant.
"L'effet de masse", clip de Maëlle sur le harcèlement, est un outil pédagogique de prévention du harcèlement, adapté aux collégiens ainsi qu'aux lycéens. La chanteuse, Maëlle, s'est fait connaître en gagnant The Voice 7 à l'âge de 17 ans. A peine sortie du lycée, et soutenue dans l'écriture par Calogero, elle s'engage dans cette chanson contre le harcèlement, tout en sobriété, sur quelques notes de piano.
"L'effet de masse" raconte l'histoire d'un adolescent molesté, humilié par ses camarades au point de "disparaître". Le récit, pur mais aussi tragique, se déploie dans un clip chorégraphique, où la chanteuse elle-même danse au milieu des élèves, sur les lieux du harcèlement. Un outil efficace et poétique pour aborder la prévention du harcèlement.
Paroles de "L'effet de masse", clip sur le harcèlement
Il était dans ma classe, il vivait dans ta rue
C’était celui d’en face, oui, tu l’as déjà vu
Il partageait ton cœur dans les matins méchants
Tu riais de lui car il était différent
Aujourd’hui, c’est toujours la même histoire
Dans la vie ou dans les bruits de couloir
Dans les beaux bureaux en glace
Comme dans les couloirs d’école
C’est toujours l’effet de masse
Qui nous casse et nous isole
Sur les écrans, sous des masques
Dans des regards qui rigolent
C’est toujours l’effet de masse
Qui nous casse et nous isole
Il était dans ma classe, il vivait dans ta rue
C’était celui qui passe mais son nom, je sais plus
Qu’est-c’qu’on peut être idiot quand on est plus nombreux
Je l’avoue le cœur gros, oui, j’ai ri avec eux
Aujourd’hui, c’est toujours la même histoire
Dans la vie ou dans les bruits de couloir
Dans les beaux bureaux en glace
Comme dans toutes les cours d’école
C’est toujours l’effet de masse
Qui nous casse et nous cogne
Sur les écrans, sous des masques
Dans des regards qui rigolent
C’est toujours l’effet de masse
Qui nous casse et nous isole
Il était à l’écart et on était plusieurs
Il faut un faire-valoir pour se sentir meilleur
Il était dans ma classe, il vivait dans ta rue
C’était celui d’en face, on n’l’a plus jamais vu.